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CHEZ RENAULT

Renault lancera en 2027 un SUV électrique, grand frère du Scénic

Un temps confiné, le projet d’un SUV familial 100 % électrique (HCC) est programmé pour 2027.

Exclusif. Lors du Capital Market Day, Luca de Meo a annoncé une gamme de six véhicules électriques à l’horizon 2031. Aux R4, R5, Mégane et Scénic s’ajoutera en 2027 un grand SUV, connu sous le nom de code HCC, qui intronisera technologiquement une nouvelle génération de Renault électriques.

Lors de la grand-messe présentant la nouvelle organisation du groupe Renault, Luca de Meo, son dirigeant, a esquissé le futur plan produit de la marque au losange. Qui, soit dit en passant, n’est pas figé dans le marbre. La première étape jusqu’à l’horizon 2027 prévoit l’arrivée de quatre véhicules 100 % électriques : la Mégane, les R5 et Scénic en 2024, puis la R4 en 2025. La seconde phase, qui s’étalera de 2027 à 2031, table sur une gamme de six modèles, dont quatre appartiennent au segment C.

reault gamme electrique 2031

 

À l’horizon 2031, la gamme Renault électrique comptera six véhicules.

Selon nos informations, le constructeur travaille déjà sur la future Mégane E-Tech (BCB II), qui sera remplacée en 2027. Autre certitude, le patron de Renault a décongelé le projet d’un SUV familial, un temps évoqué en 2020 mais finalement « dépriorisé » au profit du Scénic (HCB), qui sera lancé début 2024.

Moteur et batterie inédits

moteur renault valeo 200 kw 2027
Ce nouveau modèle inaugurera le moteur électrique de 200 kW (272 ch) ici en photo.

En 2020, le concept-car Morphoz matérialisait les projets internes des futurs SUV compact (HCB) et familial (HCC). Pour des raisons financières, ce dernier a été mis en veille. Mais le voici à nouveau sur la table. Ce modèle viendra coiffer la gamme au-dessus du Scénic et sera développé sur l’inédite plate-forme SDV (Software-Defined Vehicle). Au programme, un nouveau moteur synchrone à rotor bobiné de 200 kW (272 ch) développé et fabriqué conjointement par Renault et Valeo. Plus compact et léger, il sera surtout sans terres rares et produit dans l’usine Renault de Cléon à partir de 2027. Comme nous l’a confirmé Gilles le Borgne (patron de l’ingénierie du groupe Renault), l’architecture passera à une tension de 800 V à cette occasion. La batterie d’environ 90 kWh devrait être fournie par Envision, qui est en train d’installer sa gigafactory à Douai, là où sera produit ce nouveau SUV.

Nouvelle architecture logicielle

renault plateforme sdv qualcomm
La nouvelle plate-forme électrique SDV sera développée en partenariat avec le géant américain de l’électronique, Qualcomm.

L’avancée majeure de cette plate-forme sera l’intégration d’une architecture électronique high-tech développée en commun avec le géant américain Qualcomm, qui apportera sa solution Snapdragon Digital Châssis. Pour faire simple, cette dernière intègre un ou deux supercalculateurs (en fonction du véhicule) qui piloteront toutes les fonctionnalités du véhicule (info-divertissement, aides à la conduite…), ce que fait déjà Tesla. Inaugurée par la nouvelle gamme d’utilitaires FlexEVan, cette architecture sera associée à tous les services Google, dont le cloud. Le but est d’offrir de nouveaux services et de mettre à jour le véhicule au fil du temps. Ce SUV familial, dont le nom est pour l’heure inconnu, sera le véhicule lanceur de l’ensemble de ces technologies qui serviront aussi à la deuxième génération de Mégane E-Tech électrique.

Source : https://cutt.ly/2MRTmUu

16 novembre 2022par Candice Bayol
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Comment réaliser un duplicata de carte grise en cas de perte ou de vol ?

Peu de personnes le savent, mais dans le cadre d’une perte de carte grise ou en cas de vol de ses papiers ou de son véhicule : il est tout à fait possible de faire une demande de duplicata de carte grise.

Grâce à certaines démarches, il est possible d’obtenir ce précieux sésame et se sortir de ce genre de situation.

Usure, perte, vol : comment demander un duplicata de carte grise ?

Lorsque l’on en vient à se retrouver sans carte grise, tout n’est heureusement pas perdu : il est possible de trouver une solution et de nouveau rouler en toute légalité. Il faut déjà savoir qu’un duplicata de carte grise a la même valeur au regard de la loi.

En effet, ce document officiel reprend les mêmes informations contenues sur la carte grise d’origine et est accepté auprès des forces de Police / de Gendarmerie en cas de contrôle routier. Bien entendu, il demeure être un duplicata et n’est en aucun cas le remplaçant de la carte grise d’origine du véhicule.

Si la carte grise venait à être usée, perdue ou les papiers / le véhicule volé (et le document aussi volé, par la même occasion) : vous pourrez alors faire une demande de duplicata. Pour pouvoir réaliser un duplicata de sa carte grise, vous pourrez :

  • Le faire physiquement auprès des quelques professionnels le proposant, avec un prix libre.
  • Ou bien faire la démarche par internet afin de vous faciliter les choses, gagner du temps et de l’argent.

4 étapes pour faire une demande de duplicata par internet

Pour la seconde solution, vous devrez :

  • Renseigner une demande en ligne, grâce au service immatriculation sur internet, il vous suffira de noter les informations à propos de votre identité, le n° d’immatriculation du véhicule concerné.
  • Faire le calcul d’une demande de duplicata de carte grise, grâce au simulateur en ligne qui prendra en compte les informations précédentes pour évaluer le prix pour la demande de duplicata.
  • Envoyer le dossier, avec les documents obligatoires (justificatif d’identité, justificatif de domicile de moins de 6 mois, la preuve du Contrôle Technique valide, le CERFA 13750 ou le CERFA 13757 si fait par un pro) afin de pouvoir valider la demande. Puis, les faire imprimer auprès de l’Imprimerie Nationale, recevoir un document ponctuel et une confirmation par e-mail.
  • Recevoir le duplicata, une fois que votre dossier aura bien été validé, vous recevrez le duplicata de la carte grise sous 48 h.

Avec des démarches simplifiées, il sera alors relativement facile de récupérer un duplicata de carte grise par internet et de le recevoir dans un délai assez rapide.

Il est aussi pratique d’avoir un papier ponctuel pour prouver sa bonne foi auprès des forces de l’ordre, ne pas se stresser avec cette possibilité et rouler en toute liberté.

Les nouvelles technologies combinées avec un prestataire de confiance pourront donc vous sortir d’une situation que vous pensiez périlleuse pour pouvoir récupérer un duplicata de carte grise et pouvoir de nouveau rouler en toute légalité.

source : www.captain-drive.com

27 octobre 2022par Manuèle
CHEZ DACIA

Dacia Jogger GPL : chiffres et raisons de s’y fier sans hésiter

Depuis toujours, Dacia est le champion des tarifs serrés sans jamais sacrifier l’essentiel. Bien construit, ultra-logeable et suffisamment performant, ce Dacia Jogger GPL, mesures de consommation à l’appui, permet de rouler “moins cher”.

Le Dacia Jogger, c’est en fait la variante break de la Sandero, avec un empattement fortement allongé et l’accastillage digne d’un SUV, élargisseurs d’ailes compris. Ce mélange des genres de 4,55 m de long, soit un gabarit situé entre les Peugeot 3008 et 5008, peut ainsi séduire les familles, y compris nombreuses, avec une proposition à sept vraies places (+ 800 à 1 410 € suivant les finitions et motorisations). De quoi attirer davantage l’attention que les fades Dokker et Lodgy d’hier. D’autant que Dacia a aussi fait des efforts à bord, avec un poste de conduite copié sur la Sandero à succès. On retrouve donc un univers au dessin contemporain et construit dans des matériaux certes durs mais suggérant une belle tenue dans le temps. Quant à l’équipement, il offre plus que le minimum vital dès le deuxième niveau de finition Expression, ici à l’essai, avec la climatisation manuelle, l’écran multimédia tactile de 8 pouces (compatible Android Auto et CarPlay) et le radar de recul. Et, pour ceux qui en veulent plus, les options, comme l’aide au stationnement avant ajoutant la caméra, s’affichent à des montants raisonnables (pack à 500 €).

grées transformables en galerie. Malin !

Un Dacia Jogger convaincant à la conduite

Mais si le Dacia Jogger a le sens du service, il n’a rien d’une camionnette au volant. Comme les Duster et Sandero, il propose un comportement routier sain et serein, surveillé par des aides électroniques travaillant discrètement, freine comme une sportive (63 m à 130 km/h), tout en offrant un bon confort général. Oui, il y a plus émouvant à mener, car l’engin, à l’empattement très généreux (2,90 m) ne brille pas par son agilité. Tandis que son amortissement, sonore sur les grosses percussions, ne fait pas dans l’ultra-douillet. Enfin, et c’est là son seul vrai défaut, le Dacia Jogger avoue des bruits d’air dès 110 km/h, qu’il faudra couvrir avec de la bonne musique. Mais rien de rédhibitoire.

D’autant que, là où les anciennes roumaines premier prix composaient avec d’anciens et asthmatiques blocs atmosphériques essence, le Dacia Jogger profite dès l’entrée de gamme d’un 1.0 baptisé Eco-G. Fonctionnant à l’essence comme au GPL, ce trois-cylindres turbo à la sonorité sympathique s’avère recommandable. Hormis une légère paresse au décollage, il se montre volontaire grâce à un couple délivré tôt, dès 1 500 tr/mn. Et, comme la boîte mécanique à six rapports, bien guidée mais à la commande un peu accrocheuse, est intelligemment étagée, et que nous avons mesuré ce Jogger à 1 290 kg, les performances sont loin d’être indécentes. Il faut juste ne pas lui demander la lune en reprises sur le dernier rapport et, évidemment, s’attendre à moins de peps quand il est chargé à ras bord. Enfin, comme l’accélérateur “triche” en donnant tout le couple – et parfois des à-coups – sur les premiers centimètres de course, nous conseillons d’enclencher le mode ECO pour adoucir tout ça.

Plutôt raisonnable à la pompe avec 7,5 l/100 km de sans-plomb en moyenne selon nos mesures, ce Dacia Jogger consomme bien sûr sensiblement plus en mode GPL : 9,7 l/100 km. Mais, grâce au tarif plus de deux fois moins cher de ce gaz, le budget carburant s’avère finalement inférieur à celui d’un diesel, que Dacia ne propose plus que sur le Duster. L’affaire reste donc excellente.

source: https://cutt.ly/oNgHMrm

27 octobre 2022par Candice Bayol
CHEZ RENAULT

Renault numérise l’ensemble de ses processus, de la formation à la livraison des véhicules

Renault a entamé un processus de numérisation en 2016. Aujourd’hui, le constructeur se targue d’avoir à la fois une visibilité sur toutes ses chaînes de production en France, d’anticiper les pannes éventuelles de ses machines, mais également de former en réalité virtuelle une partie de ses employées, d’agencer au mieux la chaîne de production ou d’avoir une visibilité sur l’ensemble de sa supply chain. Le constructeur a développé lui-même une plateforme qui collecte 1 milliard de jeux de données par jour et permet de les analyser.

Aux jumeaux numériques de ses usines, Renault a ajouté la capture et la restitution des données en temps réel. Puis, une plateforme de pilotage de l’ensemble de ces informations et permettant de créer différents cas d’usages a vu le jour.

Le constructeur automobile travaille à la numérisation de l’ensemble de ses processus, de la formation des salariés à la livraison des véhicules aux clients en passant par l’optimisation des processus de conception et de fabrication. Après quelques années où il s’est concentré sur la structuration de la donnée, le constructeur pouvait passer à l’échelle avec la création en interne d’une plateforme reposant sur un standard unique de la donnée. Retour sur la transformation numérique du constructeur Français.

Une solution interne commercialisée par Atos

Entre 2016 et 2018 ce sont 120 millions d’euros qui ont été investis notamment sur le réseau dans les usines. Puis, entre 2019 et 2021 ce sont 270 millions d’euros qui ont été utilisés pour réaliser des jumeaux numériques des usines et de la chaîne d’approvisionnement, tout en nouant des partenariats avec la start-up française Shippeo pour améliorer la visibilité sur la supply chain ou Google en tant que fournisseur de la plateforme cloud.

Sur cette période de collecte des données, le constructeur automobile explique n’avoir pas trouvé de solution de gestion et visualisation des données correspondant à sa demande puisque la plupart des offres concernaient uniquement certains segments. Or Renault cherchait à avoir une visibilité complète, d’où le développement en interne de cette plateforme.

Les données collectées ont commencé à être exploitées pendant que la plateforme IDM4.0 a été mise en place entre 2021 et 2022 ainsi que la « central tower » offrant une vision centralisée de l’ensemble des informations. Sur cette période ce sont 390 millions d’euros qui ont été investis par le constructeur. Un salarié explique que Renault est alors passé « d’un jumeau numérique statique à une capacité de projection et d’interaction en temps réel ». En parallèle il s’est également rapproché d’Atos pour monétiser son savoir-faire industriel. La solution est commercialisée depuis juin 2022 sous le nom ID@Scale. Atos assure être en discussions avancées avec 5 clients et avoir signé le premier client dans l’industrie manufacturière.

La plateforme IDM4.0 regroupe quatre dimensions jugées essentielles : la connexion des équipes et des machines, les jumeaux numériques des installations et de la supply chain, la connexion à l’écosystème au-delà des murs des usines, la dimension technologique qui vient s’intégrer au-dessus de la donnée.

La connexion des équipes et des machines

Côté chiffres, Renault précise : 8500 équipements sont connectés dans les usines, 600 équipements répartis dans une vingtaine d’usines sont dotés de capteurs de vibrations, une soixantaine de procédés industriels sont modélisés (vissage, usinage, soudage, emboutissage, remplissage, etc.), il y a 4400 Digital Work Station (DWS) ou salariés connectés. Le tout permettant de collecter un milliard de jeux de données par jour.

Par exemple, sur le site de Maubeuge il est possible de visualiser l’ensemble des objets concernant le flux de fabrication des Kangoo : de la visseuse à l’opérateur en poste. Les personnes présentes sur les chaînes de fabrication sont des opérateurs connectés : au début de leur prise de poste ils doivent valider qu’ils sont bien présents, qu’ils récupèrent le poste en bon état, que tous les outils sont là, etc. En cas de problème, l’information est directement remontée à l’opérateur senior qui reçoit une alerte et peut régler le problème. En parallèle, le chef d’équipe reçoit la même alerte qui passe au vert lorsque le problème est réglé. « Renault dispose 4000 tablettes et 3000 chefs d’équipe connectés », glisse une salariée.

L’ensemble d’une ligne de production de Maubeuge est visible.

Au-delà des salariés augmentés, les robots sont bardés de capteurs et remontent de nombreuses données – plus de 70% des équipements industriels sont connectés – qui permettent de détecter de nombreux problèmes. Par exemple, il est possible de savoir lorsqu’une électrode d’un robot de soudure va rester collée. Cela est dû à un désalignement du robot auquel il est facile de remédier sans avoir à subir un arrêt de la chaîne de production.

L’apport des jumeaux numériques

Renault n’a pas seulement réalisé des jumeaux numériques de ses usines, mais également de sa supply chain. Des avatars représentent chaque objet et les différents flux de marchandises peuvent être analysés. A partir de ces jumeaux numériques, le constructeur a également pu mettre au point une quinzaine de formations en réalité virtuelle dont une pour la peinture de la Mégane E-Tech. Le constructeur s’est appuyé sur la maquette 3D développée en interne.

Avec cette formation le personnel dédié à la peinture peut s’entraîner à avoir le bon geste pour optimiser la consommation de peinture tout en peignant au mieux. Une fois le module de peinture terminé, le logiciel fait un retour pour signaler lorsqu’il y a trop ou pas assez de peinture sur la carrosserie. Renault assure que les personnes ont été formées quatre fois plus vite grâce à la réalité virtuelle. « Le constructeur dispose d’au moins deux casques de réalité virtuelle sur ses 35 sites », précise une responsable de la formation en réalité virtuelle. « Renault a formé 70% de ses peintres en France avec ce dispositif », ajoute-t-elle.

l est possible de s’entraîner à peindre en réalité virtuelle.

Les jumeaux numériques et les outils de réalité virtuelle sont aussi utilisés pour étudier comment agencer au mieux les zones de production, valider les conditions ergonomiques de chaque poste de travail et s’assurer que toutes les taches pourront être réalisées au mieux.

La connexion à l’écosystème extérieur à l’usine

Avec sa plateforme IDM4.0, le constructeur récupère et collecte des informations bien au-delà de ses propres usines. Côté supply chain, l’objectif est de planifier au mieux la production pour maximiser les marges. Pour cela, il est nécessaire d’automatiser la récupération de données auprès des fournisseurs ainsi que celle concernant le transport de marchandises.

Lorsqu’il y a un problème d’approvisionnement, celui-ci est tout de suite signalé afin de revoir le plan de production. Des scénarios de crises sont proposés et l’opérateur peut prendre la décision finale. Renault assure vouloir continuer à développer des algorithmes pour améliorer et approfondir les outils de prédictions et prescriptions sur ces sujets. Allant dans ce sens, un des objectifs est d’optimiser les routes prises par les camions ainsi que leur taux de remplissage ce qui permettrait de réduire les stocks.

La dimension technologique

Le quatrième élément mis en avant par Renault au sujet de sa plateforme est la dimension technologique qui vient se positionner au-dessus des données. « Des modèles d’intelligence artificielle et de machine learning peuvent venir améliorer encore plus les capacités de la plateforme », déclare un salarié. A ce niveau, le constructeur cherche à tirer profit du cloud et travaille avec Google sur certains sujets.

Renault affirme que sa plateforme facilite le déploiement de modèles d’intelligence artificielle. Par exemple, les opérateurs sont aidés par un système d’intelligence artificielle pour réaliser les contrôles visuels des pneumatiques : « le système propose, prédit ou alerte et l’opérateur décide », résume un salarié. Le logiciel, développé en partenariat avec la start-up Buawei, détecte des anomalies sur les pneumatiques à l’aide d’images. Que ce soit un pneumatique en mauvais état ou monté du mauvais côté, un problème de conformité des vis ou le fait que deux pneus différents aient été fixés, le logiciel alerte du problème détecté.

Une fois qu’une solution de ce type est mise au point sur un site, elle est partagée par le constructeur dans une bibliothèque d’algorithmes pour qu’elle soit reprise par d’autres usines.

Grâce à cette plateforme IDM4.0, Renault souhaite réduire ses coûts, avoir plus de visibilité, améliorer la prévention et l’anticipation, réduire les délais entre les commandes et la livraison, etc. A ce jour, il assure que cette plateforme lui a permis de réaliser 80 millions d’euros d’économie notamment grâce notamment à 300 alertes vibratoires lui évitant l’arrêt de la production, l’amélioration de la qualité du soudage par points, l’inspection visuelle du châssis ou encore le suivi des véhicules du prototype jusqu’à la série. Mais il espère réaliser jusqu’à 320 millions d’euros d’économie d’ici 2025. En attendant, Atos cherche à commercialiser cette solution. Le succès avancé par Renault pourrait-il être reproduit chez d’autres industriels ?

Source : https://cutt.ly/cNgAzjN

27 octobre 2022par Candice Bayol
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