RENAULT Tressol-Chabrier -

CHEZ RENAULT

Plug Inn : l’application de Renault pour faire recharger sa voiture électrique chez un particulier

Créée par Renault, l’application Plug-Inn met en relation des conducteurs de véhicules électriques avec des possesseurs de bornes de recharge privées.

Le réseau de recharge se développe petit à petit en France. Le nombre de points ouverts au public dans l’Hexagone vient de passer la barre des 90.000, et le seuil très symbolique des 100.000 devrait être atteint à la fin du printemps. Mais un autre réseau bien plus vaste pourrait encore davantage faciliter la mobilité électrique : les bornes de recharge privées. Et si vous laissiez ouvert l’accès à la borne que vous avez chez vous à des conducteurs de passage ?

Avec cette idée, Renault vient de lancer la plate-forme communautaire Plug-Inn, une application gratuite disponible sur Apple Store et Google Play. Cette appli met en relation les conducteurs d’un véhicule électrique avec les propriétaires d’une borne privée.

Ouverte à tous, l’application permet de localiser et réserver des bornes de recharge disponibles chez des particuliers quel que soit le type de bornes (prise green-up, point de recharge en 3,7 kW, 7,4 kW, 11 kW…) ou encore la marque du véhicule.

Pour le conducteur de l’électrique, Plug-Inn permet de planifier son trajet et de payer de manière sécurisée. Le propriétaire de la borne de recharge trouve de son côté un moyen de gagner de l’argent avec sa borne. Renault a mis en place un tarif conseillé : 4,50 € de l’heure. Et on peut bien sûr utiliser l’application dans les deux sens.

Renault souligne que ce partage de borne peut être particulièrement utile lors des futurs week-end chargés sur la route, ce sera ainsi un moyen d’échapper à de l’attente dans une station publique.

 

Source : https://cutt.ly/E86LrW0

 

 

14 mars 2023par Candice Bayol
CHEZ RENAULT

Renault prépare un chargeur embarqué plus rapide et bidirectionnel

En partenariat avec le CEA, Renault met au point un nouveau chargeur embarqué bidirectionnel « à très haut rendement ».

Renault et le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives) travaillent ensemble à la mise au point d’un nouveau chargeur embarqué pour les véhicules électriques. Ce chargeur est bidirectionnel, il peut donc permettre au véhicule d’injecter l’énergie de la batterie dans le réseau électrique. Des modèles électriques de Renault proposeront ainsi bientôt la technologie V2G, vehicle-to-grid.

Ensemble, Renault et le CEA ont développé une nouvelle architecture électronique de convertisseur de puissance directement intégrée au chargeur du véhicule. Ce convertisseur de puissance est le fruit de trois ans de travail et a fait l’objet de 11 dépôts de brevets communs.

Ce chargeur utilise des matériaux innovants, des matériaux semi-conducteurs dits à « Grand Gap », qu’ils soient en Nitrure de Gallium (GaN) ou en Carbure de Silicium (SiC), ce qui a de nombreux avantages. Renault annonce que cet équipement permet de réduire les pertes d’énergie de 30 % lors de la conversion. Il réduit aussi de 30 % l’échauffement, facilitant le refroidissement du système de conversion. De plus, grâce à une optimisation des composants actifs (semi-conducteurs) et passifs (condensateurs et composants inductifs bobinés), le chargeur est plus compact et moins coûteux.

Ce chargeur a une capacité de charge allant jusqu’à 22 kW en mode triphasé. Une puissance que l’on trouve sur la Zoé, mais Renault promet donc des temps de recharge plus rapides avec ce nouvel équipement. Reste que son arrivée sur un modèle n’est pas prévu à court terme : Renault indique que « cette innovation française unique sera déployée sur les véhicules Renault d’ici la fin de la décennie ».

source : https://cutt.ly/S2780LY

18 janvier 2023par Candice Bayol
CHEZ DACIA

Dacia se lance (enfin) dans l’hybride !

Le succès de Jogger ne se dément pas, avec 83 000 commandes, un an seulement après son lancement. Pour soutenir encore son break, la marque roumaine l’équipe d’une motorisation hybride de 140 ch. Une première chez Dacia, qui n’avait jamais eu le droit à l’hybridation.

Il y a moins d’un an, Dacia commercialisait le Jogger, une voiture familiale à sept places. Avec plus de 83 000 commandes et plus de 51 000 immatriculations dans le monde depuis son lancement en mars 2022, ce Dacia Jogger rencontre un beau succès. En  moins d’une année, le Jogger est le deuxième véhicule le plus vendu à particuliers sur le segment C hors SUV en Europe.

Jogger inaugure la motorisation hybride pour la marque Dacia avec une puissance combinée de 140 ch.

Un gain de consommation important

D’après Dacia, le système hybride autorise

Jusqu’à 80% du temps de roulage en ville en tout électrique. Comparé à son équivalent thermique, le gain de consommation pourrait grimper jusqu’à 40%. La batterie, elle, se charge en roulant en récupérant l’énergie des freinages et décélérations. bride sans contrainte.

Le paradoxe Dacia

L’ouverture des commandes de Jogger HYBRID 140 est prévue à partir de janvier 2023 pour une arrivée en concession à partir de mars 2023. Et c’est là que le bas blesse.

Proposé, en France, à partir de 24 600€ pour la finition Expression (5 places), le Jogger est la voiture familiale hybride la plus accessible du marché. Un Suzuki Swace hybride comparable débute à 29 750 €. Mais le principal ennemi de ce Jogger Hybrid 140 sera peut-être lui-même. La version essence 110 ch débute en effet à 17 990€. Une différence de prix qui sera compliquée à rentabiliser.

Une alternative hybride

Jusqu’à présent les deux tiers des clients Jogger optaient pour la motorisation GPL en choisissant la déclinaison ECO-G 100. Ils auront désormais une alternative séduisante avec cette déclinaison hybride.

Le Jogger annonce des émissions de CO2 à partir de 108g/km.

Le système hybride est basé sur des technologies éprouvées et reconnues au sein de Renault Group, composées d’un moteur 4 cylindres 1,6l essence de 90 ch, de deux moteurs électriques (un moteur de 50 ch et un démarreur/générateur haute tension) et d’une boîte de vitesses automatique électrifiée, dotée de 4 rapports dédiés au bloc thermique, ainsi que 2 autres alloués à l’électrique.

Cette technologie combinée est rendue possible par l’absence d’embrayage.

Source : https://cutt.ly/A2GQoAf

12 janvier 2023par Candice Bayol
CHEZ DACIA

Dacia : ces secrets de simplicité qui vous font gagner de l’argent

A leurs débuts, les Dacia contemporaines étaient peu chères car dénudées et peu performantes. Une image lointaine des voitures malines que l’on connait aujourd’hui. Mais pour rester abordables, les Dacia redoublent d’ingéniosité.

L’innovation, ce n’est pas forcément être à la pointe de la technologie. Depuis plus de quinze ans, Dacia innove à sa manière. Car il ne suffit pas de compter sur les économies d’échelle et d’utiliser des plastiques rustiques pour réussir. Si les Sandero, Duster et Jogger connaissent aujourd’hui un franc succès, c’est qu’en plus de prestations routières étonnamment bonnes, leur présentation ne donne plus l’impression de voitures low-cost. Mais pour parvenir à cet équilibre, la firme roumaine doit en revanche redoubler d’ingéniosité. Simplifier la fabrication d’une voiture sans rogner sur le design ou la sécurité n’est pas chose aisée. Lors d’un court passage à la direction du style, Alejandro Mesonero nous confirmait que tenir le crayon pour Dacia s’avérait parfois plus compliqué qu’ailleurs. “Avoir moins de moyens ne veut pas dire avoir moins de possibilités. Il faut retourner le problème dans l’autre sens. Cela nous oblige à changer notre façon de penser et de travailler à chaque étape du processus de création en studio”, nous détaillait l’Espagnol.

Bien penser dès le départ

Le Dacia Duster.
Le Dacia Duster.© Alex Krassovsky

Cette conception porte un nom : le “design to cost”. Ou partir d’un coût à tenir pour obtenir une solution plutôt que de réfléchir à une solution et d’en définir le coût quitte à revenir dessus pour grapiller quelques euros. Parfois, la solution est extrêmement simple, ainsi les Sandero Stepway et Jogger partagent leur face en tous points. Mais dans d’autres cas, il faut être plus malin. Ainsi, vous ne trouverez jamais de blocs optiques en deux parties sur les Dacia. Notamment à l’arrière, où toute la gamme – mais aussi le concept Bigster – s’efforcent d’accrocher leurs feux à la carrosserie et non au hayon du coffre, pour simplifier le câblage interne. Charge alors aux designers de se creuses les méninges quant à la forme de ces phares pour qu’ils restent esthétiques en respectant la logique d’économie.

Economies à l’achat, mais aussi à rouler

Le Dacia Duster sera renouvelé en 2023.
Le Dacia Duster sera renouvelé en 2023.© Dacia

Toujours dans cet esprit astucieux et invisible, il y aussi plein d’astuces techniques. Ainsi, vous ne trouverez pas de sortie d’échappement sous le pare-chocs d’un Jogger. C’est normal, la ligne s’arrête au milieu de la voiture, ce qui diminue non seulement le poids mais aussi la quantité de matière. Simple, mais peu répandu. Quant à la troisième rangée de sièges, elle est directement reprise à l’ancien Lodgy qui n’est même plus commercialisé, ce qui a évité à Dacia de redessiner et réhomologuer des assises. D’ailleurs, pas de glissière dans le plancher pour les fixer, trop coûteuse, mais de simples crochets d’arrimages, non moins sécurisant. De même, les ceintures de sécurité sont fixées dans la carrosserie, une astuce déjà largement répandue. A l’extérieur du Jogger, il faut aussi remarquer que le bas des portes n’est pas protégé par un élément en plastique mais uniquement un sticker. Un peu “cheap”, mais résolument peu cher. Mises bout à bout, toutes ces solutions font d’abord baisser le prix d’une Dacia par rapport à la concurrence, mais aussi le poids des modèles et leurs coûts d’utilisation pour vous. Et Alejandro Mesonero de résumer pour nous, déjà à l’époque : “A la fin, tu te rends compte que tu peux économiser de l’argent sans être moins moderne ou moins pratique”.

Source : https://cutt.ly/c10auJI

6 décembre 2022par Candice Bayol
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