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Comment réaliser un duplicata de carte grise en cas de perte ou de vol ?

Peu de personnes le savent, mais dans le cadre d’une perte de carte grise ou en cas de vol de ses papiers ou de son véhicule : il est tout à fait possible de faire une demande de duplicata de carte grise.

Grâce à certaines démarches, il est possible d’obtenir ce précieux sésame et se sortir de ce genre de situation.

Usure, perte, vol : comment demander un duplicata de carte grise ?

Lorsque l’on en vient à se retrouver sans carte grise, tout n’est heureusement pas perdu : il est possible de trouver une solution et de nouveau rouler en toute légalité. Il faut déjà savoir qu’un duplicata de carte grise a la même valeur au regard de la loi.

En effet, ce document officiel reprend les mêmes informations contenues sur la carte grise d’origine et est accepté auprès des forces de Police / de Gendarmerie en cas de contrôle routier. Bien entendu, il demeure être un duplicata et n’est en aucun cas le remplaçant de la carte grise d’origine du véhicule.

Si la carte grise venait à être usée, perdue ou les papiers / le véhicule volé (et le document aussi volé, par la même occasion) : vous pourrez alors faire une demande de duplicata. Pour pouvoir réaliser un duplicata de sa carte grise, vous pourrez :

  • Le faire physiquement auprès des quelques professionnels le proposant, avec un prix libre.
  • Ou bien faire la démarche par internet afin de vous faciliter les choses, gagner du temps et de l’argent.

4 étapes pour faire une demande de duplicata par internet

Pour la seconde solution, vous devrez :

  • Renseigner une demande en ligne, grâce au service immatriculation sur internet, il vous suffira de noter les informations à propos de votre identité, le n° d’immatriculation du véhicule concerné.
  • Faire le calcul d’une demande de duplicata de carte grise, grâce au simulateur en ligne qui prendra en compte les informations précédentes pour évaluer le prix pour la demande de duplicata.
  • Envoyer le dossier, avec les documents obligatoires (justificatif d’identité, justificatif de domicile de moins de 6 mois, la preuve du Contrôle Technique valide, le CERFA 13750 ou le CERFA 13757 si fait par un pro) afin de pouvoir valider la demande. Puis, les faire imprimer auprès de l’Imprimerie Nationale, recevoir un document ponctuel et une confirmation par e-mail.
  • Recevoir le duplicata, une fois que votre dossier aura bien été validé, vous recevrez le duplicata de la carte grise sous 48 h.

Avec des démarches simplifiées, il sera alors relativement facile de récupérer un duplicata de carte grise par internet et de le recevoir dans un délai assez rapide.

Il est aussi pratique d’avoir un papier ponctuel pour prouver sa bonne foi auprès des forces de l’ordre, ne pas se stresser avec cette possibilité et rouler en toute liberté.

Les nouvelles technologies combinées avec un prestataire de confiance pourront donc vous sortir d’une situation que vous pensiez périlleuse pour pouvoir récupérer un duplicata de carte grise et pouvoir de nouveau rouler en toute légalité.

source : www.captain-drive.com

27 octobre 2022par Manuèle
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Quelles aides pour quelles flottes ?

La loi LOM l’impose, l’urgence climatique aussi: le moment est venu de verdir ses flottes. Bonne nouvelle, qu’ils optent pour les vélos ou pour les voitures électriques (voire pour les deux), les entreprises peuvent bénéficier de différentes aides et subventions pour leurs flottes. Voici lesquelles.

flottes aides

Véhicules légers et utilitaires: tout un panel de subventions

Depuis le 1er janvier dernier, la loi LOM demande aux professionnels possédant plus de 100 véhicules (inférieurs ou égaux à 3,5 tonnes) d’électrifier au moins 10% de leurs flottes. Un seuil qui passera dès janvier 2024 à 20% des véhicules, et à 35% en janvier 2027. Sont concernés les véhicules légers et certains utilitaires. Quant aux véhicules ultra-légers, ils le seront dès janvier prochain. Le moment est venu pour vous de verdir votre flotte? Ou vous souhaitez en implanter une? Voici ce à quoi vous pourrez (ou non) prétendre:

  • La prime à la conversion. Elles vous est accessible si les VE (ou hybrides rechargeables) que vous achetez possèdent une autonomie supérieure à 50km et que leur prix ne dépasse pas les 60 000 euros chaque. Dans ce cas vous toucherez 2 500 euros par voiture concernée. S’il s’agit d’un véhicule utilitaire, ce sera 40% du prix d’achat dans la limite (selon les modèles) de 9 000 à 5 000 euros.
  • Le bonus écologique. Si le VE vous a coûté moins de 45 000 euros, vous pourrez prétendre à 4 000 euros par véhicule. Au dessus, ce sera 2 000 euros.
  • L’aide ADVENIR. Cette subvention vise à financer l’installation de bornes de recharge au sein de votre entreprise. Son taux: 20%, dans la limite de 600€ HT par point de recharge installé. A noter que ce programme devait prendre fin en 2022. Il a toutefois été reconduit jusqu’en 2025, et s’est même doté de 200 millions d’euros supplémentaires.
  • L’exonération de la taxe sur l’affectation des véhicules de tourisme à des fins économiques. Cette taxe est habituellement exigée aux entreprises louant ou utilisant des véhicules de tourisme.
  • Des aides locales. Elles divergent selon les régions et les municipalités. Renseignez-vous auprès de vos collectivités territoriales.

Source : https://makeamove.fr

20 octobre 2022par Flora
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Pénurie de carburants : peut-on être verbalisé en cas de panne sèche sur la route ?

La pénurie d’essence continue de faire rage en France.

De nombreux automobilistes prennent donc des risques en prenant le volant avec des réserves basses de carburant.

En cas de panne sèche, ils s’exposent à une amende sur certaines voies, surtout les autoroutes.

C’est la hantise de nombreux automobilistes, à l’heure où des pénuries d’essence touchent plusieurs régions. Tomber en panne en pleine route, un scénario du pire qu’Audrey a expérimenté pour la première fois ce lundi matin. « Je pensais avoir le temps de faire la queue à une station pour mettre de l’essence, mais non… Je suis tombée en panne 500 mètres plus loin », regrette la conductrice, à côté de sa voiture à l’arrêt, au début du reportage du JT de TF1 ci-dessous.

D’autres flirtent avec le danger en roulant sur la réserve. « Je viens de changer de voiture, je ne sais pas jusqu’à combien de kilomètres je peux aller, je suis en train de tester », s’inquiète une automobiliste de Clermont-Ferrand dans cette autre vidéo du JT de TF1. Un réflexe risqué, quand on sait que la panne sèche peut vous valoir une amende sur certaines voies.

La panne sèche pas considérée comme cas de force majeure

« Sur une route classique, comme les voies secondaires, nationales, départementales ou en ville, on va en règle générale trouver une zone où s’arrêter sans gêner la circulation, souvent sur le bas-côté. On ne représente donc pas un danger », explique auprès de TF1info l’avocat Me Jean-Baptiste le Dall, spécialiste de droit automobile.

Ce qui n’est pas le cas de l’autoroute. « Les zones sur lesquelles on s’expose le plus à la verbalisation, ce sont les bandes d’arrêt d’urgence : elles servent à s’arrêter en cas de force majeure, ce qui ne vaut pas lorsque la panne est prévisible, par exemple lorsqu’on s’y engage avec 10km d’autonomie seulement », signale l’avocat. La panne sèche est alors considérée comme un arrêt gênant, susceptible d’être sanctionné selon l’article r 417-10 du Code de la route d’une contravention de seconde classe, à savoir une amende de 35 euros, majorée 75 euros.

« L’arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence est gênant s’il n’est pas justifié par une nécessité absolue, or la panne sèche n’est en effet pas un cas de force majeure », confirme Me Matthieu Lesage, également avocat spécialiste du droit routier. Une règle appuyée par un arrêt de la cour de Cassation du 12 février 1957, selon lequel « la panne sèche ne justifie pas l’arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence car tout automobiliste peut anticiper cette circonstance », relate le juriste.

Vous risquez aussi une amende sur tous les ouvrages autoroutiers, comme les ponts ou les tunnels, dès lors que la panne est anticipable, précisent les spécialistes. D’autant que sur ces voies sans bande d’arrêt d’urgence, vous encourez le risque de vous stationner dangereusement, ou même de vous arrêter en pleine voie, ce qui peut vous mettre en péril, tout comme les autres conducteurs. Le stationnement dangereux vous vaudra 135 euros d’amende, majorée 375 euros, selon l’article r 417-9 du Code de la route.

Une « certaine forme de tolérance » face aux pénuries

Toutefois, il est possible que dans ce contexte de fortes pénuries de carburants dans certaines régions, les forces de l’ordre fassent preuve d’une « certaine forme de tolérance » en ce moment. « L’automobiliste peut essayer de prouver qu’il s’agit tout de même d’un cas de force majeure, parce qu’il s’était engagé sur l’autoroute pour atteindre une nouvelle station, espérant y trouver de l’essence. Il faut réussir à prouver que de précédentes stations ne délivraient plus de carburant », conseille Me Jean-Baptiste le Dall.

Si obtenir une attestation auprès de ces stations peut s’avérer délicat, il peut être utile en revanche de montrer aux policiers l’état de la situation sur l’une des nombreuses applications qui renseignent les pompes vides, pour apporter la preuve de la pénurie qui vous a forcé à prendre l’autoroute, ajoute l’avocat.

Les cas de verbalisation sur ces bandes d’arrêt d’urgence sont en règle générale peu nombreux, relève-t-il. Mais la vigilance est tout de même de mise, sachant qu’il vous faudra également verser 138 euros pour le dépannage en cas de panne sur l’autoroute, des prix majorés de 50% entre 18 heures et 8 heures du matin, et le week-end et jours fériés.

Source : https://www.tf1info.fr

20 octobre 2022par Flora
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POSITION DE CONDUITE : NOS CONSEILS POUR ÉVITER LE MAL DE DOS

S’il vous arrive d’avoir mal au dos lorsque vous effectuez de longs trajets, votre position de conduite est peut-être inadaptée : voici comment bien la régler !

Une bonne position de conduite est indispensable pour aborder la route sereinement : elle vous permettra de ménager votre dos et vos muscles, et vous serez plus attentif pour garder le contrôle de votre voiture.

Voici tous nos conseils pour éviter le mal de dos et régler correctement votre siège !

Position de conduite : que faire lors des longs trajets ?

Pour vous préparer correctement et aborder sereinement les longs trajets, nous vous conseillons de prendre le temps d’effectuer un petit réveil musculaire, avant le grand départ. La conduite n’étant pas une activité très intense, il vous suffit de faire un peu de marche avant.

Pensez bien entendu à faire une pause toutes les deux heures, durant laquelle vous pouvez vous détendre : effectuez un peu de marche pendant la pause, et à la fin du trajet. Il peut également être utile de faire quelques exercices : inspirez à fond lentement, en ouvrant les bras et en creusant légèrement le dos, puis asseyez-vous et penchez-vous doucement vers l’avant, avant de vous redresser jusqu’à être un peu cambré. Un exercice à répéter 3 ou 4 fois pour détendre vos muscles.

Position de conduite : les erreurs les plus courantes

Voici les erreurs les plus courantes que font les automobilistes lorsqu’ils s’installent au volant, ainsi que leurs conséquences sur votre corps :

Si vous adoptez une position trop crispée, vous pouvez avoir les chevilles relevées (douleurs dans le tibia et l’extérieur de la jambe), les genoux trop fléchis ( douleurs dans la rotule), le dos trop droit (disques comprimés et risque de hernie), le volant trop près (fatigue musculaire des triceps), ou encore la tête trop haute (vision plongeante, stressante et fatigante).

Si vous adoptez une position trop détendue, vous pouvez avoir les bras trop tendus (douleurs dans les épaules et le haut du dos), les jambes trop tendues (tension du nerf sciatique, douleurs à l’arrière des mollets et des cuisses), les cuisses en appui (sensation de jambes lourdes), ou encore le cou en arrière (contractions et tensions dans le cou).

source : www.autoplus.fr

14 octobre 2022par Manuèle
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