AUTODacia lance une application de réalité augmentée pour smartphones et tablettes : Dacia AR. Simple, ludique et moderne, elle permet de voir les véhicules n’importe où, jusqu’à l’échelle 1, et même d’y entrer.
son garage, sur un parking, dans la rue… il suffit de placer le véhicule dans l’environnement réel de son choix. S’en approcher, en faire le tour, aller à l’intérieur, zoomer sur un détail, tout est possible !
Le réseau pourra quant à lui l’utiliser pour montrer les véhicules de manière inédite, en complément des outils existants. Dacia AR se révèlera également utile lorsqu’un concessionnaire souhaitera présenter à un client un modèle qu’il n’aurait pas dans son showroom. Toutes les Dacia sont en effet disponibles dans Dacia AR, et dans tous les coloris.
Pour développer Dacia AR, la marque a fait appel au savoir-faire de Scale-1 Portal, une start-up spécialisée en outils d’expériences immersives. L’application est gratuite, elle peut être téléchargée à partir de l’App Store ou de Google Play et ne nécessite aucun autre équipement que son smartphone ou sa tablette.
Dacia vient de passer le cap des 10 millions de voitures produites depuis ses débuts en 1968. Avec des chiffres de ventes qui ne cessent de croître ces dernières années.
C’est le mercredi 20 avril dernier que Dacia a franchi le cap symbolique des 10 millions de véhicules produits. En l’occurrence, il s’agissait d’un Dacia Duster Extreme gris urbain sorti de la chaîne de montage de l’usine de Mioveni en Roumanie.
Le pari de Renault
C’est en août 1968 que Dacia a entamé l’assemblage de son tout premier véhicule, la Dacia 1100. L’année suivante, le modèle iconique Dacia 1300 a donné naissance à toute une famille de dérivés et est resté en production pendant 35 ans, marquant fortement le paysage automobile roumain. Mais c’est à partir de 1999, que Dacia va connaître un nouvel élan avec la reprise par le groupe Renault suivi de la sortie de la Logan en 2004. Dacia devient ainsi une marque à vocation internationale.
Gamme élargie
La gamme de modèle s’est ensuite copieusement élargie avec l’apparition des Sandero en 2008, du Duster en 2010, du Lodgy en 2012 et du Dokker la même année. Désormais, nous sommes déjà arrivés aux troisièmes générations des Logan et Sandero et deux nouveaux modèles sont encore apparus l’année dernière. Le Jogger qui connaît un beau début de carrière et la Spring, le premier véhicule 100% électrique de Dacia.
Ce passage de cap a été souligné par Denis Le Vot, Directeur Général des marques Dacia et Lada : « Nous sommes très fiers d’avoir franchi la barre symbolique de 10 millions de véhicules produits. Ce résultat témoigne de la réussite d’une vision pragmatique de l’automobile, centrée sur ce qui est réellement essentiel pour nos clients. Fort de ses expériences, Dacia va poursuivre sa croissance et continuera de proposer des véhicules attractifs et adaptés aux modes de vie de nos clients ».
C’est dans les deux laboratoires du Centre Technique de Titu, à 45 minutes au nord-ouest de Bucarest, en Roumanie, qu’ingénieurs et techniciens testent avec obstination la qualité globale des Dacia. Leur objectif ? Garantir aux clients que leur voiture résistera aux attaques du temps. Leur méthode ? Le vieillissement accéléré. Ainsi, en quelques semaines seulement, des années de vie sont simulées sous diverses conditions.
UV, températures extrêmes et étirement
Façonné et moulé dans des formes très diverses, le plastique est un composant majeur de l’habitacle des voitures, et forcément, s’il n’est pas de bonne qualité, c’est une grande partie du véhicule qui va se détériorer avec le temps. Par exemple, les rayons UV, la chaleur ainsi que les intempéries, peuvent provoquer le blanchissement, la perte de couleur ou altérer la brillance du plastique. Dans les cuves du laboratoire, des dizaines d’échantillons sont placés tous les jours sous des UV pendant une durée pouvant aller jusqu’à 3.000 heures. Les pièces absorbent ainsi des radiations équivalant à plusieurs années d’exposition au soleil. En outre, elles passent plusieurs semaines dans des cabines qui leur font subir des conditions de température et d’humidité extrêmes, allant de -40 à +100°C. Après ces traitements de choc, les pièces sont analysées et comparées à un échantillon témoin non vieilli.
L’aspect du plastique est aussi menacé par le simple usage de la voiture. Des clés ou une bague par exemple, peuvent créer des dégâts et laisser durablement des marques sur la carrosserie ou une pièce de l’habitacle. Pour éviter cela, tous les plastiques subissent les assauts d’un outil destiné à simuler les rayures. Concrètement, une vis métallique effectue des allers-retours dans le sens de la longueur et de la largeur sur un échantillon. Les rayures, inévitables, doivent rester superficielles et ne pas altérer les propriétés du plastique. Au cours du temps, les pièces peuvent aussi se tordre, se gondoler, voire casser. Dans le laboratoire de durabilité, une machine de traction a donc également pour mission d’étirer le plastique pour tester sa résistance à la rupture. Seuls les matériaux qui réussissent tous les tests sont retenus.
La chasse à la rouille
Un autre laboratoire unique est hébergé à Titu : le centre de corrosion, inauguré en 2015. C’est ici que toutes les pièces métalliques sont passées au crible, grâce à une enceinte de corrosion accélérée. Sur une voiture neuve, la peinture protège le métal. Mais un accident ou une éraflure peut mettre ce dernier à nu et l’exposer à la corrosion. En plus de petits échantillons, des pièces entières comme le capot, le hayon, les portes et la base roulante subissent également des tests. Les pièces chromées et galvanisées comme les disques de frein, les vis et les emblèmes sont aussi contrôlées. Elles sont plongées dans l’enceinte de corrosion dans des conditions climatiques extrêmes où varient la température, l’humidité, et même la composition de l’air. En sortant de cette chambre, la corrosion autour des rayures est analysée. Par ailleurs, des produits chimiques tels que du liquide de lave-glace ou une solution saline sont aussi utilisés pour reproduire les agressions subies par la carrosserie.
Quant au gravillonnage, il consiste en la projection à haute pression de gravillons sur une pièce métallique pour juger des dégâts occasionnés sur la carrosserie. Peinture, chromage, zingage, etc., toutes les couches de protection sont ainsi évaluées afin de garantir la meilleure qualité pour les véhicules. Ce n’est qu’une fois cette batterie d’examens passée avec succès que les pièces et les matériaux sont validés et peuvent intégrer les nouveaux véhicules Dacia.
Selon les statistiques de Jato Dynamics, Dacia Sandero était la voiture la plus vendue en Europe au cours des deux premiers mois de 2022. Le modèle sous-compact roumain a été placé devant de grands noms comme Volkswagen Golf, Skoda Octavia et Renault Clio. Les autres modèles construits en Roumanie, Ford Puma et Dacia Duster, figurent également dans le top 15 des voitures les plus vendues en Europe.
Après les deux premiers mois de 2022, la Dacia Sandero était la voiture la plus vendue en Europe. Selon les statistiques créées par Jato Dynamics, le modèle produit à Mioveni s’est vendu à 32 238 exemplaires, soit 10,2 % de plus qu’à la même période l’an dernier. À la deuxième place se trouve la Peugeot 208, en baisse de 12,4 % par rapport à 2021. Le podium est complété par Volkswagen Golf, qui n’a pas réussi à franchir le seuil des 30 000 voitures vendues. Cela signifie une baisse de 5,4 % par rapport à la même période en 2021.
Sur les 4 places suivantes se trouvent : Peugeot 2008, Renault Clio, Skoda Octavia et Volkswagen T-Roc. Les ventes de ces modèles ont chuté de plus de 10% par rapport à l’année dernière. À la 8e place se trouve Ford Puma, le SUV produit à Craiova, avec 22.864 unités vendues. Le top 10 est complété par la Fiat Panda et l’Opel Corsa, toutes deux avec des baisses d’environ 20 %.
Dacia a réussi, par ailleurs, à vendre 60 370 voitures, soit 15 % de plus qu’en 2021. 90 % de ses voitures sont représentées par les modèles Sandero et Duster. En revanche, Ford a enregistré une baisse de 14,9 % par rapport à la période janvier-février 2021, avec 62 608 voitures vendues.
Il convient de mentionner qu’au cours des deux premiers mois, 1,6 million de voitures ont été immatriculées à travers le continent. Parmi ceux-ci, 1,4 million se trouvaient dans l’Union européenne. Cela représente une baisse de 6,4 % par rapport à la même période l’an dernier.
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